Di 22.06 – détail

9h30 – ATELIER AIR DANSE de Olivia Grandville (45′)

Atelier pour les enfants de cinq à dix ans, cette initiation au mouvement se concentrera sur le rapport à l’air et à l’espace au travers de l’utilisation d’un ensemble d’objets gonflables, du ballon de baudruche à la bulle de savon.

Avec Matthieu Patarozzi

Photo © Mathilde-Delahaye

11h30 – LA REVOLTE DES ZOZIOS Nina Negri/Annick Rody (1h)

Au programme : leçon de cuisine. Mais les cuisinières sont deux é-pou-van-ta-bles canailles ! Elles se réjouissent de partager la recette des spaghettis aux oiseaux et lombrics… Grotesques et impayables, leur soif de destruction se retourne bientôt contre elles-mêmes, et les oiseaux s’échappent : voilà qu’ils remplissent la classe de chants et de musiques ! Une fable carnavalesque qui invite à interroger la domination de l’humain sur le vivant par une autre écoute, inventive et empathique, de ce qui nous entoure.

Conception, mise en scène, écriture
Nina Negri

Interprétation, chant et co-écriture de plateau
Laura Den Hondt
Mélina Martin

Collaboration scientifique
Amaranta Fontcuberta
Frédéric Guignard
Estelle Milliet

Création musique originale
Annick Rody

Création costumes
Léa Katharina Meier

Dramaturgie
Marion Stoufflet

Regard chorégraphique
Laura Gaillard

Regard extérieur
Guillaume Miramond

Pensée médiation
Delphine Ducoulombier, Amaranta Fontcuberta, Estelle Milliet,
Jeanne Guye,
Darious Ghavami – UNIL

Production
Manon Monnier – Cie Almavenus

Production déléguée
Virginie Lauwerier

Un projet Théâtre des Futurs Possibles 23/25

Coproduction
Théâtre Vidy-Lausanne
La Grange, Centre / Arts et Sciences / UNIL
Centre de compétences en durabilité / UNIL

Partenaire médiation culturelle et scientifique
L’éprouvette, Laboratoire / Sciences et Société / UNIL

19h00 – TORDU de Martín Gil (30′)

Martín Gil aimerait un jour assister à un méga concert de rock argentin. Mais il est effrayé par le fait de se plonger dans une foule. Tordu est une lutte intérieure, entre le désir et la peur, mais aussi un hommage aux artistes du rock argentin, à leurs engagements poétiques, politiques et sociaux. 

Photo © Juan Pablo Parra Torres

19h45 – GOLDEN GORE de Ludovico Paladini (15′)

Un corps solitaire dans l’espace tente d’intégrer le style, les mimiques et les célébrations des stars du football des années 1990 et 2000. Avec une veine poétique et ironique, Golden Gore radicalise le mouvement du footballeur en le privant de sens et de finalité, dans un jeu de représentation de la performativité théâtrale du football. Le protagoniste rêve d’un grand stade bondé qui l’acclame ou le déteste. Il ne veut pas être un champion, il veut juste en avoir l’air.

Photo © Droits réservés

20h30 – GRAND MIROIR de Claire Dessimoz (50′)

Grand Miroir explore la possibilité d’une révolution individuelle et collective par la fragilité en regardant avec tendresse notre inlassable recherche à nous fondre dans le moule tout en nous en distinguant. C’est un solo qui questionne les paradoxes intimes et sociaux liés à l’évaluation des autres et de soi-même pour tenter une valorisation de l’incertitude, du doute, de la possibilité d’être labiles. Grand Miroir propose de dédramatiser notre posture sociale et nos assurances pour embrasser la tentative, le ridicule, l’incertain donc le changement.

Photo © Anna Trottier

21h30 – RECYCLE de Olivia Grandville et les artistes programmés (30′)

Hommage au mouvement pur et à l’écriture, Recycle met en partage des phrases chorégraphiques extraites du répertoire des artistes en présence, matière à une improvisation où ces fragments vont se combiner sans souci de cohérence de style.

Distribution : Olivia Grandville, Matthieu Patarozzi, Ludovico Paladini, Martín Gil, Helena de Laurens, Claire Dessimoz, Benoît de Villeneuve & Benjamin Morando

Photo © Mathilde-Delahaye

22h00 – FAUNE de César Vayssié (1h)

Une transposition sous forme de projection immersive de la plateforme iFaune créée par le cinéaste et réalisateur César Vayssié. Faune est axé sur la relation danse/image à travers ses déclinaisons plastiques, son appartenance à la sphère digitale, sa relation à l’histoire, ses perspectives esthétiques et sociales.

Photo © Marc Domage